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Jean-Claude Vandamme toujours AWARE    Jean-Claude Vandamme dans PREMIERE

Jean-Claude Vandamme dans PREMIERE




ENFANTS (LES) selon Jean-Claude Vandamme
À PROPOS DE SON FILS, ADEPTE DU PATINAGE ARTISTIQUE :

"Il est sur la glace du matin au soir ; il veut être champion, lui. Il a des jambes qui montent jusqu'à la... jusqu'aux bras, HÉ ! HÉ ! c'est "monsieur jambiste". Alors quand il monte sa jambe – ça prend encore un peu de temps parce qu'il a que quinze ans, les muscles sont pas encore formés aux fessiers –, mais quand il monte cette jambe sur la glace, on dirait un aigle ; il est très flexible."

EAU (L') selon Jean-Claude Vandamme
"L'eau, c'est quelque chose de concret mais pas concret. Parce que l'eau... peut me nourrir, mais aussi l'eau... peut me porter. Parce que l'eau... a des lois magiques. L'eau peut tenir des cargos dans la mer, des milliers de tonnes d'acier... C'est quelque chose qui a beaucoup de dimensions, l'eau."

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ENFANCE (L') selon Jean-Claude Vandamme
"J'ai la nostalgie de l'enfance. Je trouve que l'enfance est très, très belle. Et dans la manière dont on élève un enfant – qu'il soit mâle ou female, hein ? –, on peut retarder son processus de création, ce que j'appelle son "bon côté". Parce qu'on donne aux enfants beaucoup de règles et de rules ; il y a de bonnes règles, de bonnes rules, mais il y en a qui sont un peu... – on va revenir sur le mot – "officielles". Et cette officialité peut vraiment retarder ce qui devrait devenir... Mais c'est pas grave, il aura encore plus à se battre ! Non seulement contre lui-même, contre la vie, mais aussi contre les officialités de la vie, les religions et tout ça..."

DOULEUR (LA) selon Jean-Claude Vandamme
"Une douleur physique n'est pas tellement une douleur. C'est une douleur qu'on oublie. Je crois que les douleurs mentales sont beaucoup plus fortes ; et si on met la douleur spirituelle... il n'y en a pas ! Donc, il y a la douleur physique (primaire), la douleur mentale (dont on se rappelle, les souvenirs de la vie) ; et puis il y a le spirit (l'esprit), qui, lui, n'a aucune douleur puisque the final conclusion of the spirit is perfection."

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CONCRET selon Jean-Claude Vandamme
A PROPOS DES "QUESTIONS CONCRÈTES" QUE VEUT POSER LE JOURNALISTE :

"Il n'y a rien de concret. Tu sais pourquoi elles sont concrètes ? Je vais t'expliquer pourquoi elles sont concrètes avant même que tu ne me dises tes questions ! Parce qu'on crée une réalité et, dans notre réalité, on a inventé le temps : les 24 heures, les 365 jours par an... (...) Ce qui est bien ! Comme ça, on sait que quand je traverse mon living-room et que je marche de ma cheminée jusqu'à la fenêtre, ça va prendre 10 secondes. Mais en vérité, pour un oiseau, ça va prendre une seconde ! Et pour l'oxygène, ça prend 0 seconde ! Alors on se crée un temps, ce qui est bien ! Comme ça, on sait ce qui se passe. On se crée des choses concrètes pour se protéger. Une maison est concrète, les briques sont concrètes. Si je suis marié avec cette femme pour la vie, j'aurai une vie concrète. Si mon copain me dit qu'il ne me trahira jamais, c'est une amitié concrète. Mais en vérité, de quel droit... peut-on se mettre dans une autre enveloppe, et la faire obéir à des lois que NOUS, on voudrait comme on les voudrait ? Tu vois ? Mais en vérité, les choses concrètes, oui, elles sont concrètes si on croit qu'elles sont concrètes !"

COINCIDENCES (LES) selon Jean-Claude Vandamme
"La vie est faite de coïncidences. Y'a deux trois ans c'était des erreurs, et puis elles se changent en coïncidences, because la vie est faite de choses bien, de choses pas bien, et on peut additionner le tout et RÉPÉTER, RECOMMENCER les choses pas biennes, pas pas pas pas bien ou pas biennes ou pas bien – je m'excuse – pas bien, pour pouvoir REMODIFIER la personne, vu qu'on sait ce que c'est que le bien. Alors ça m'a servi beaucoup, mon passé, en tant que sportif, quand je suis venu en Amérique. Tu sais, euh... on appelle ça pur, euh... assez neutre, et puis Hollywood et le travail, la confiance, et le disbelief Que ce soit de ma faute ou pas de ma faute, y'a eu beaucoup d'écorchures, de cicatrices, et ça fait mal parfois aux artistes."

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CHIENS (LES) selon Jean-Claude Vandamme
"J'ai été élevé du côté "campagne", en dehors de Bruxelles. Et j'ai toujours grandi parmi les chiens. (...) J'ai beaucoup joué avec les chiens. J'ai toujours aimé le contact des animaux. Pourquoi ? Parce qu'il y avait beaucoup de feeling. (...) Les animaux ne parlent pas trop. Ils "parlent" (avec du feeling), mais ils n'ont pas de langage pour nos trouilles à nous. (...) Là, j'ai un chien en ce moment à côté de moi et je le caresse."

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